Je crois à l’épanouissement personnel à travers l’entrepreneuriat.
Je veux partager cette envie et les méthodes pour arriver à se lancer. Je veux aider les personnes à concrétiser leur projet.
Je veux rendre les personnes libres, autonome, fier d’elle-même et de leurs capacités.
J’ai l’ambition de donner à ces futurs entrepreneurs les meilleures chances de réussite afin que ces créateurs et créatrices inventent l’entreprise et le monde de demain.
Je veux continuer à sensibiliser à l’entrepreneuriat afin de contribuer à la diffusion de l’esprit et de l’envie d’entreprendre auprès de toutes et de tous.
Je veux mieux informer et orienter chacune et chacun, selon sa situation, dans tous les territoires, afin d’assurer un parcours personnalisé avec des solutions adaptées.
Je veux contribuer à faire avancer l’économie de demain en intégrant l’impact social et environnemental de chaque projet, en contribuant à la prise en compte des enjeux liés à l’entrepreneuriat dans toutes ses dimensions.
Et enfin, à travers ces actions, je veux encourager mes enfants à être responsable de leur choix, à créer de la valeur, et à aider leurs prochains.
J’ai créé EcloRes, et voici les raisons :
La grande démission. Ce mouvement a été mis en lumière à la faveur du Covid. Les salariés n’hésitent plus à quitter leur emploi s’ils ne s’y épanouissent pas.
La période du confinement, propice à la réflexion, a aussi amené les gens à s’interroger sur le sens de leur vie et leurs priorités, quitte à remettre en cause la valeur attribuée au travail.
Conséquence : un véritable vent d’entrepreneuriat souffle sur la France, et de plus en plus de salariés quittent leur emploi pour créer leur entreprise.
Alors qu’un contexte maussade continue de plomber la stabilité économique de la France, avec une inflation galopante et des taux d’intérêt qui ne cessent d’augmenter, la création d’une entreprise reste un eldorado qui fait vibrer les Français. En effet, le nombre de création d’entreprises continue de croître, à un rythme régulier : en 2021, ce chiffre augmentait de 17%.
Et cette tendance n’est pas près de s’arrêter. De nombreux acteurs nationaux engagés en faveur de la création et de l’entrepreneuriat partenaires ont une ambition commune : doubler d’ici 5 ans le nombre de créations d’entreprises pérennes, génératrices de valeur ajoutée et d’emplois
Aujourd’hui, à peine 20 % des créations « actives » sont accompagnées. Or, sans accompagnement et financement adéquats, près de 50% des entreprises disparaissent dans les trois ans suivant leur création alors que ce taux de pérennité dépasse 70% pour les projets financés et accompagnés.
Ces dernières années, j’ai pu accompagner des dizaines de créateurs dans leurs projets. Certains ont pris conscience que l’entrepreneuriat ne correspondait pas à leurs attentes, certains ont créé, mais sont retournés vers le salariat, mieux armé que jamais et plus serein et d’autres, bien sûr, ont réalisé leurs projets. Tous ont vécu une grande aventure. Le fait d’entreprendre ne se limite pas à la création de sa propre structure. C’est avant tout un état d’esprit et un comportement face à ses responsabilités. Car entreprendre, c’est donner vie et développer un projet !
Après 11 ouvertures de centres de profits, 5 créations de sociétés, 2 liquidations et 3 années à la Direction d'une structure d'accompagnement à la création d'entreprise, j’aide les personnes en reconversion à créer leur société ou à développer leurs projets entrepreneurials.
Parrain de l’association Second Souffle. Je sais combien il est difficile de rebondir après un échec professionnel, pour un entrepreneur comme pour un salarié.
Nous accompagnons tous les entrepreneurs en rebond, post-liquidation ou post-cessation d’activité, qu’ils soient en société, microentreprise, free-lance, indépendant, TEP / PME, avec ou sans salariés, sans limite de temps et sans critère de sélection. Il est essentiel de ne laisser aucun entrepreneur sur le « bord de la route ».
Je suis aussi Mentor auprès de l’association DEMA1N.org qui met en relation professionnels et étudiants afin d’accompagner des jeunes dans leur parcours scolaire et professionnel.
Et récemment, j’interviens pour l’association « 100 000 entrepreneurs ». Encore une fois, Entreprendre est un état d’esprit, qui signifie se mobiliser autour d’un projet et le concrétiser. Il peut s’agir de créer une entreprise ou une association, lancer un nouveau produit, appréhender un nouveau marché, etc. C’est à la portée de tous à condition d’y croire et de se donner les moyens. En faisant la promotion de la culture entrepreneuriale, « 100 000 entrepreneurs » montre aux jeunes que l’entrepreneuriat est une voie possible et qu’il n’y a pas de fatalité.