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La franchise, solution sécurisante pour entreprendre en 2023

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Devenir entrepreneur en maîtrisant les risques ? La création d’entreprise en franchise est une solution pour se lancer tout en se sécurisant, que vous soyez au tout début de votre carrière professionnelle ou que vous soyez tentés par l’indépendance après des années de salariat.

Ceci est d’autant plus vrai que les franchisés s’installent relativement jeunes, ouvrant leur premier point de vente à l’âge de 35 ans en moyenne. Plus largement, quel que soit l'âge, 44 % des futurs créateurs d'entreprise envisagent la franchise, un pourcentage en hausse par rapport à 2019 (1). 

Les avantages de la franchise

Ce modèle rassure les entrepreneurs : 52 % de ceux qui envisagent la franchise donnent comme principale motivation le fait de pouvoir s’appuyer sur un accompagnement et des moyens pour développer leur activité.

Autre avantage cité par les candidats potentiels à la franchise :

  • L’intérêt de pouvoir bénéficier de la notoriété de l’enseigne (40 %),
  • Un moyen de limiter le risque financier (36 %)
  • La garantie d’une meilleure rentabilité (30 %).


Selon cette enquête, 32 % d’entre eux voient dans la franchise la possibilité d’acquérir un nouveau savoir-faire dans le cadre d’une reconversion professionnelle. Entreprendre en franchise est également un opportunité, pour 29 % d’entre eux, de maîtriser davantage l’organisation de leur vie personnelle. 

Parmi ceux qui décident de se lancer dans la franchise, 76 % sont d’anciens salariés ; 43 % ont d’ailleurs dans le même temps changé de secteur d’activité. Ce phénomène est davantage marqué chez les 50 ans : 52 % ont changé de secteur. Se lancer dans la franchise peut également s’envisager par le biais d’une reprise d’entreprise. Ainsi, si 47 % des nouveaux franchisés se lancent dans une création pure, ils sont 53 % à opter pour la reprise d’une franchise existante.

L’enjeu des nouveaux franchisés

Du côté des réseaux organisés, l’un des principaux enjeux est de trouver de nouveaux franchisés : une sélection qu’ils considèrent comme leur principal enjeu pour 72 % d’entre eux. Cet aspect est d’autant plus important que les franchiseurs sont sur une belle dynamique de développement, 90 % d’entre eux ayant inauguré au moins un point de vente supplémentaire au cours des 12 derniers mois, avec en moyenne 14 nouvelles implantations l’an dernier.

Pour trouver les meilleurs profils, ils sont 63 % à privilégier la sélection de franchisés parmi les salariés de leur réseau.

Par ailleurs, si la franchise attire, c’est qu’elle démontre, dans ce contexte de conjoncture économique tendue, une capacité à se développer. Notons enfin que 91 % des franchisés recommanderaient ce modèle à un futur entrepreneur.


Les franchises les plus prometteuses en 2023

Les « Révélations de la franchise », créées il y a plus de 20 ans et organisées par la Fédération française de la franchise, ont cette année mis en avant 3 franchises qui se développent avec des concepts aussi bien qualifiés à la fois de novateurs et prometteurs. 

Les lauréats :

  • LAND & MONKEYS : boulangerie 100 % végétale
  • Bienvenue à la ferme : réseau de vente de produits fermiers en circuit court
  • Crêpe Touch : crêpes, gaufres, plats sucrés et salés 100 % personnalisables.



Vous souhaitez créer votre entreprise en franchise ? Vous recherchez un local commercial pour ouvrir votre commerce à Bordeaux ou ailleurs en Gironde ? Parlons-en !

Valorisation d’entreprise, ou mise en valeur de l’entreprise : Le Business Staging

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Sur le site de Bpifrance, ce n’est pas moins de 48 319 affaires qui sont à reprendre, fonds de commerces ou entreprises, communiquées quotidiennement par ses partenaires agréés : fédérations, chambres de commerce et d’artisanat, opérateurs associatifs ou privés.

Dont 25 394 uniquement pour le secteur de la Restauration.

L’âge moyen des dirigeants d’entreprises français ne cesse de progresser – 1 dirigeant de PME sur 5 a plus de 60 ans – et ils sont de plus en plus nombreux à chercher un repreneur. 
 
La cession d’entreprise est donc un enjeu économique majeur.

Les affaires à céder sont désormais mises en concurrence par les repreneurs potentiels. Dans ce contexte de déséquilibre entre l’offre et la demande, il est plus que jamais essentiel de présenter votre entreprise sous son meilleur jour pour attirer les candidats à la reprise.

Prudence et attentisme pèsent sur les cessions d’entreprises en 2020


Pour autant, le volume de transmissions de TPE et PME a fortement diminué depuis 2013.
Les fusions et scissions progressent de 7 % en 2020 alors que les autres types de cession, principalement des cessions de fonds de commerce et d’activité, reculent de 20 %.

Les secteurs les plus affectés par la crise sanitaire ont également enregistré une baisse plus importante des cessions d’entreprises
On le sait, le ralentissement économique, l'inflation, les trésoreries fragilisées, l'accès au financement plus compliqué, la pénurie de personnel, les hausses de salaires et les coûts croissants de l'énergie et des matières premières, rendent la recherche de repreneurs pour les commerces à vendre, et notamment en Restauration, plus ardue que jamais.

La France enregistre actuellement son plus lourd bilan de défaillance d'entreprises au 2e trimestre depuis 2016, une situation sans précédent qui a fortement impacté des secteurs tels que la restauration et le commerce de proximité. Face à ces défis sans précédent, il est plus important que jamais pour les entrepreneurs de se démarquer et de renforcer leur attractivité sur le marché.

Pour autant, la situation n’est pas aussi désespérée que certains veulent le laisser penser. Des créateurs sont bien présents sur le marché de la reprise d’entreprise mais leurs attentes évoluent et ne sont pas toujours en raccord avec les biens proposés.

Quels sont les critères qui rendent une entreprise attractive pour les repreneurs potentiels ?


Bien sûr, La rentabilité de l’entreprise est essentielle pour 37 % des repreneurs, tout comme la valeur de l’entreprise, indispensable pour 1 repreneur sur 4.

Mais l’analyse des bilans de l’activité existante n’est pas le seul critère à prendre en compte pour la valorisation de l’entreprise à vendre.
 
Un des critères fondamentaux à valoriser est le potentiel de croissance.

Le potentiel de croissance d’une entreprise est le premier critère d’attractivité. Il est d’une importance primordiale pour 55 % des repreneurs.

La présentation d’une vision à long terme pour l’entreprise, d’une évolution future, ainsi que d’un plan de croissance et de développement améliore nettement et de façon significative son image auprès des repreneurs.

Cession d’entreprise : rendez votre affaire attractive


Valorisation d’entreprise, ou mise en valeur de l’entreprise.

Le concept consiste à mettre en œuvre des stratégies pour améliorer l'apparence et la performance d'une entreprise, surtout lorsqu'elle est mise en vente ou lorsqu'elle cherche à attirer des investisseurs.

Le « business staging » vise à présenter l'entreprise sous son meilleur jour, en mettant en évidence ses atouts et en minimisant les points faibles, afin d'attirer des investisseurs ou des acheteurs potentiels. C'est une approche stratégique pour maximiser la valeur perçue de l'entreprise et augmenter les chances de réussite dans des transactions importantes.

Le concept de business staging est en effet pertinent et potentiellement crucial, surtout dans les contextes économiques difficiles comme les périodes de crise. Dans les moments où le marché est incertain ou en difficulté, il devient essentiel de maximiser les chances de réussite lors de la vente d'une entreprise ou d'un fonds de commerce.

Voici quelques raisons pour lesquelles le business staging peut être important, voire primordial, dans la crise que nous vivons aujourd'hui :

1. Augmenter l'attrait pour les acheteurs : En période de crise, les acheteurs peuvent être plus prudents et sélectifs dans leurs décisions d'achat. Le business staging permet de présenter l'entreprise sous son meilleur jour, de mettre en valeur ses points forts et de créer une image positive qui attirera davantage d'acheteurs potentiels.

2. Se démarquer de la concurrence : En temps de crise, il peut y avoir une augmentation du nombre d'entreprises mises en vente, ce qui entraîne une concurrence accrue sur le marché. Le business staging offre la possibilité de se démarquer de la concurrence en présentant une entreprise bien organisée, propre et attrayante.

3. Augmenter la valeur perçue : Une entreprise qui semble bien entretenue et bien gérée peut être perçue comme ayant une valeur supérieure, même si les chiffres financiers peuvent être affectés par la crise. Le business staging peut aider à améliorer la valeur perçue de l'entreprise, ce qui peut influencer positivement les négociations sur le prix.

4. Faciliter la prise de décision : Les acheteurs potentiels peuvent se sentir submergés par les informations lorsqu'ils évaluent une entreprise à acheter. Un business staging bien réalisé peut simplifier le processus de prise de décision en présentant clairement les avantages et les opportunités.

5. Répondre aux nouvelles attentes : En période de crise, les attentes des acheteurs et des investisseurs peuvent changer. Le business staging peut permettre d'adapter l'entreprise aux nouvelles demandes du marché et de mettre en avant des aspects qui sont devenus particulièrement pertinents dans le contexte économique actuel.

6. Pour les agents commerciaux en immobilier professionnel et pour les personnes rencontrant des difficultés à vendre leurs fonds de commerce, le business staging peut être un outil puissant pour augmenter les chances de réussite des transactions. Cela peut les aider à attirer plus d'acheteurs sérieux, à vendre plus rapidement et éventuellement à obtenir un meilleur prix pour l'entreprise.

Il est important de noter que le business staging ne remplace pas les fondamentaux solides de l'entreprise, mais il peut compléter une stratégie de vente bien pensée en maximisant son potentiel commercial.

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C'est dans cette optique qu'EcloRes intervient en proposant des solutions concrètes.

Nous nous efforçons d'améliorer l'apparence et la performance globale des entreprises pour les rendre plus attrayantes aux yeux des acheteurs potentiels.

Grâce à notre expertise en valorisation d’entreprise, nous nous concentrons sur plusieurs aspects essentiels tels que la présentation visuelle, l'image de marque, la stratégie commerciale, la gestion des opérations, la gestion financière, les ressources humaines et la communication…

Nous mettons un point d'honneur à accorder une attention particulière à la transparence et à la documentation, permettant ainsi aux acheteurs de se sentir en confiance et d'avoir une vision claire de l'entreprise à vendre. 

En identifiant les points forts et en mettant en avant les avantages concurrentiels, nous aidons les entreprises à se démarquer de la concurrence et à susciter l'intérêt des investisseurs potentiels.

Notre objectif est de donner aux entreprises les outils nécessaires pour maximiser leurs chances de réussite sur le marché de la vente. En travaillant main dans la main avec nos clients, nous les accompagnons dans cette période cruciale de cession d'entreprise en leur offrant des solutions sur mesure pour répondre à leurs besoins spécifiques.

Dans ce contexte économique difficile, notre approche stratégique fait la différence. En rendant les entreprises plus attractives et en valorisant leur potentiel, nous contribuons à faciliter le processus de vente et à assurer un avenir prometteur aux entrepreneurs et à leurs entreprises.

Prêt à passer à l'action ?


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La nécessité de maintenir des commerces de proximité

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Les temps changent. La crise sanitaire du Covid-19 a eu pour conséquence de dévoiler aux yeux de tous la dépendance de l’économie française à la mondialisation. Aujourd’hui un autre modèle semble se dessiner et nous prenons conscience que le tarif le plus bas a un coût, et pas seulement financier.

Le risque majeur de ne plus faire ses courses chez ces commerçants locaux est de les voir disparaître et de vider ainsi les villes de leur âme.

Les commerçants et artisans locaux emploient des populations locales, faisant vivre des familles qui elles-mêmes par leurs dépenses contribuent au maintien de l’activité des commerces à proximité.

Seul on va vite, ensemble, on va plus loin. Ce pourrait être un slogan pour le commerce local. Les commerçants se développent chacun dans leur boutique, mais ne sont pas isolés les uns des autres pour autant. Ils se réunissent en association, se conseillent mutuellement, font leur promotion dans un but partagé : proposer produits et services dans un environnement favorable (marchés de Noël, lotos, parrainages, participation à des journées spéciales, etc. ) tant pour la vente que pour l’achat.

Le dernier point, et pas le moindre, qui fait du commerce local le mode de consommation des prochaines années est la création du lien, du contact humain qui fait cruellement défaut dans les grandes surfaces et sur la toile. On n’est jamais mieux reçu que par un sourire, et ce n’est pas vos commerçants locaux qui vous diront le contraire.

Les actions visant à préserver et développer le commerce de proximité en zones rurales ne présentent que des avantages : dans une logique d’attractivité globale des communes rurales, le maintien et le développement des commerces de proximité permettent d’attirer de nouveaux habitants et activités. Dans une logique de maîtrise de notre empreinte carbone, renforcer l’accessibilité et le maillage commercial permet d’éviter des trajets en voiture, alors que 90 % des habitants ruraux disposent d’une voiture à l’heure actuelle. Enfin, éviter des trajets en voiture, même petits, permet de contenir en partie la hausse des dépenses de carburant.

Les chiffres sont là pour le rappeler, les centres-villes marchands sont toujours au cœur des territoires mais pas des consommateurs. Leur dévitalisation n'est pourtant pas inéluctable dès lors que les élus considèrent prioritaire l'enjeu d'y remédier. « Le commerce ne peut cependant à lui seul réenclencher la dynamique. Celle-ci nécessite des actions publiques coordonnées en matière de logement, de mobilités, d'espaces publics, de services », soutient Emmanuel Le Roch, délégué général de Procos, fédération pour la promotion du commerce spécialisé.

L’INSEE estime que le commerce de proximité représente près de 700 000 établissements et 3,2 millions de salariés. Il compte plus de la moitié des établissements commerciaux. Entre 2009 et 2015, ce type de commerce a été dynamique, avec une augmentation du nombre d’établissements (2,1 %) et une croissance des effectifs salariés (4,9 %).

Néanmoins, en différenciant plus finement, il est constaté que la croissance des établissements de commerce a été moins forte que celle des établissements de service. Le nombre d’établissements de commerce a légèrement régressé de 0,7 %, même si leurs effectifs ont augmenté de 3,5 %. Ce sont donc plutôt les établissements de service qui ont été les plus dynamiques, avec une augmentation du nombre d’établissements de 5,5 %, et une augmentation des effectifs de 7,7 %.

Trois formes de commerces coexistent : le commerce indépendant isolé, le commerce intégré et le commerce indépendant organisé.

  1. Le commerce indépendant isolé se caractérise par un magasin de proximité d’une surface inférieure à 120 m2, exploité par un détaillant indépendant, le plus souvent propriétaire de son fonds de commerce, qui assure l’achat et le stockage de marchandise ainsi que la réception des clients. En 2016, cette catégorie représentait 70 à 80 % du total des points de vente pour 25 % du chiffre d’affaires de l’ensemble du commerce de détail, à comparer à 80 % en 1963.
  2. Le commerce de détail est souvent organisé en réseau d’enseigne, lui permettant de bénéficier d’une identité forte auprès des consommateurs. Dans ce cadre, les professionnels s’organisent en commerce intégré ou en commerce indépendant organisé. Les réseaux d’enseigne assuraient en 2018 68 % des emplois et 85 % du chiffre d’affaires dans le secteur alimentaire et 50 % des emplois et du chiffre d’affaires dans le commerce des biens d’équipement (maison, bricolage, outillage, botanique, technologies de l’information et de la communication, sport, livre, etc).
  3. Le commerce intégré s’exerce en réseau et regroupe différents points de vente, créés et gérés par une seule et même entreprise qui en est donc propriétaire ; les responsables des points de vente sont ainsi salariés de la maison-mère. Le commerce intégré s’oppose au commerce associé, au commerce indépendant ou encore à la franchise dans la mesure où dans de tels schémas, les points de vente sous enseigne sont gérés par des commerçants indépendants. Le commerce intégré regroupe en une seule entreprise les fonctions de gros et de détail (à l’exemple de Darty, Conforama ou la Fnac), voire la production des biens qu’elle commercialise (Ikea, Décathlon, Zara, H&M, par exemple).


La pandémie de Covid-19 a accéléré les tendances constatées ces dernières années. N’ayant qu’une heure pour faire leurs courses en raison du confinement, les consommateurs ont redécouvert l’intérêt de magasins dans lesquels se rendre à pied. En juillet 2021, 60 % des consommateurs sondés indiquaient que la pandémie avait changé leur comportement et qu’ils ne feraient plus leurs courses comme avant la pandémie. Si celle-ci a amplifié le recours au commerce électronique, elle a mis en avant d’autres besoins : durabilité, qualité des produits, circuits courts, réparabilité... Il s’agit parfois de facteurs écologiques, prévus par la loi, auxquels le consommateur est de plus en plus sensible. La prise en compte de ces facteurs doit être considérée comme une tendance de fond, car elle répond à de nouvelles exigences sur les lieux de vie (habitation comme travail). La revanche de la proximité répond à la combinaison d’exigences environnementales, sociétales, commerciales et psychologiques (recherche de lien) que l’on observe également dans d’autres pays européens. La proximité est un concept dynamique depuis sept ou huit ans, qui ne concerne pas uniquement le petit commerce. Les hypermarchés deviennent ainsi de plus en plus des espaces multiformats, divisés en petites unités.